Du plus lointain de nos rêves...
Le temps n’est pas des plus vivifiants pour l’éducation active, et encore moins pour la pédagogie sociale. Alors on se sert les coudes, on se la joue collectif, tout en se souciant de chaque individu.
On tente de faire face aux lames de fond qui nous assaillent et on transforme toute cette énergie d’empêcheur de rèver, en rhizome de grands et petits humains (c)réa(c)tifs.
D’abord à l’approche de l’hiver on fait des provisions, à consommer avec modération. Mais c’est du bon, la cuvée Bricabracs Domaine de Roustan.
Puis on tente de réfléchir, de continuer à extraire la substantifique moelle, en prenant l’air du temps de nos transformations quotidiennes. Comment ? et bien ... en l’écrivant. Ca papote du coté des causeries. (nos causeries). Ca vous prépare aussi quelques réflexions du bord pour les forts en thèmes... patience, ça arrive.
On rale un peu quand même car la cause ne rit plus, reportée encore une fois pour une cau(se)-vide. (causerie du CIRA annulée).
Ensuite, on regarde le temps qui passe vite et on se prépare déjà
- à se rendre au festival de Pédagogie sociale, Freinet où nous sommes invités.
- à accueillir les vacanciers de Bricabracs au coeur de l’hiver (inscription Février)
Enfin, nous soutenons, aidons, accueillons, accompagnons, encore et toujours avec passion nos jeunes pousses. Les nouveaux arrivants de ces derniers jours ne laissent d’ailleurs plus qu’une seule place de libre aux 25 plantes vivaces que notre surface d’expressions et notre attention de jardinier nous permettent de cultiver. A bon entendeur !
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